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Visualizza Versione Completa : Studio dell'INSERM francese sulla "tosicità" della luce fredda LED



Valerio Ricciardi
14-09-2015, 18:07
Se andate sul sito dell'

Institut national de la santé et de la recherche médicale
(Etablissement public de recherche à caractère scientifique et technologique)

http://www.inserm.fr/

e in alto a destra nel campo di ricerca digitate "led", arrivate qui http://www.inserm.fr/ezfind/research e poi scegliendo di nuovo nella pagina di cui a questo link http://www.inserm.fr/cote-medias

dove c'è un link che con due passaggi porta a questo interessante articolo,
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/11/24098-cote-obscur-led

che parrebbe porre in evidenza come i LED a frequenza spettarle alta, quelli più "temibili" dal punto di vista dell'IL perché sorgente più facilmente diffusa dal pulviscolo e dall'umidità atmosferica, sarebbero anche quelli meno ... compatibili con la fisiologia della nostra retina.
E che quelli a temperatura colore più bassa, meno dannosi se ben dosati ed orientati dal punto di vista dell'IL, sarebbero quelli più tollerati. Dal punto di vista della nostra causa, se confermato questo sarebbe un elemento in più a nostro favore nei rapporti con gli Enti locali, le Istituzioni ed il legislatore...

Ve lo riporto anche qui per vostra comodità.

Le côté obscur des LED

Les diodes électroluminescentes, qui dispensent une lumière très intense et contenant davantage de bleu, seraient plus toxiques pour la rétine que les ampoules classiques.

Elles consomment peu, ne chauffent pas, sont très résistantes et offrent des durées de vie spectaculaires de plusieurs dizaines de milliers d'heures: les diodes électroluminescentes, ou LED (acronyme anglais), ont peu à peu envahi notre quotidien. On les retrouve dans les phares de voiture ou dans l'éclairage public, les lampes de poche ou les luminaires d'intérieur. Cette nouvelle technologie est-elle pour autant dénuée de risques?

En 2010, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) avertissait sur leur luminosité très intense, potentiellement aveuglante (à illumination égale, une LED est bien plus compacte qu'une ampoule classique, donc plus brillante), et sur la forte proportion dans leur spectre lumineux de bleu, nocif pour la rétine. L'Anses pointait alors l'absence de réglementation adaptée à cet éclairage particulier.

Cinq ans plus tard, le vide juridique reste béant. Pire, une nouvelle étude menée par une équipe de l'Inserm et publiée au printemps dans la revue Free Radical Biology and Medicineest venue raviver les craintes existantes. Alice Torriglia, chercheuse Inserm au Centre de recherche des Cordeliers à Paris, et son équipe ont montré que la toxicité de LED commerciales communes était considérablement plus élevée que celle des néons… sur les rats albinos.

Dégradation de cellules
«Il ne faut que quelques heures d'exposition pour observer sur la rétine de ces animaux très fragiles des dégradations que l'on obtient en quelques jours d'exposition aux néons, s'inquiète la chercheuse. Nous n'avons évidemment pas des yeux de rats albinos, heureusement, mais les mécanismes physico-chimiques à l'œuvre restent similaires. Il faut rester très vigilant sur la toxicité potentielle des LED pour l'œil humain dans la mesure où elles seront bientôt omniprésentes.»

En l'occurrence, c'est le rayonnement bleu, dont les longueurs d'onde sont comprises entre 400 et 450 nanomètres, qui pose problème. «Cette lumière est plus énergétique que le rouge et le vert et il y en a bien plus dans les LED que dans les ampoules classiques, reconnaît Serge Picaud, responsable de l'équipe de pharmacotoxicité rétinienne à l'Institut de la vision, à Paris. Ce rayonnement bleu présente en plus la particularité d'être capté par des dérivés de pigments visuels qui vont transmettre cette énergie à l'oxygène, ce qui va favoriser l'oxydation de certains lipides ou protéines et provoquer ainsi la destruction ou la dégradation de cellules de la rétine.»

S'il y en a trop, les cellules qui font le ménage dans l'œil vont avoir de plus en plus de mal à effectuer correctement leur travail. «Lorsque les cellules dégradées deviennent trop nombreuses, cela peut conduire à un obscurcissement du centre du champ de vision, une maladie bien connue sous le nom de dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), rappelle Alice Torriglia. Il ne faudrait pas que l'on voit une explosion de cette maladie dans dix ou vingt ans parce que l'on n'a pas pris les précautions qui s'imposaient.» L'exposition de plus en plus importante des enfants, dont le cristallin très transparent ne filtre que très peu le bleu, contrairement à celui des adultes, est une source d'inquiétude supplémentaire.

Un tiers du marché
«Il ne faut pas non plus dramatiser, tempère Serge Picaud. Toute source de lumière peut être toxique pour l'œil, c'est une question d'usage. Comme les LED sont plus brillantes, il est désagréable de les regarder directement, ce qui limite probablement leur toxicité. Il serait néanmoins bon que leur dominante bleue puisse être limitée et que le grand public soit mieux informé qu'aujourd'hui.» Les LED «chaudes», plus prisées en Europe, sont par exemple moins nocives a priori que les «froides» qui dominent les marchés asiatiques.

À l'association française de l'éclairage (AFE), on se dit conscient du problème. «En France, les LED ne représentent aujourd'hui qu'un tiers environ du marché, contre 80 à 90 % au Canada, par exemple, explique son délégué général Alain Azaïs. L'absence de réglementation claire n'est pas rassurante pour les consommateurs.»

Les nouvelles études de toxicité, ainsi que les progrès effectués par les fabricants, conscients de la nécessité de rassurer les acheteurs, poussent aujourd'hui l'Anses à réaliser un nouveau rapport d'expertise. Les premières réunions sont prévues dans les semaines à venir. Il faudra au moins douze à dix-huit mois pour que l'agence publie ses nouvelles recommandations. L'AFE espère que les discussions aux échelons international, européen et national auront d'ici là donné lieu, dès 2016, à des réglementations plus appropriées sur cette source de lumière pleine d'avenir.

Valerio Ricciardi
14-09-2015, 18:13
...Peraltro, in generale sui problemi di biocompatibilità dei LED c'erano state anche altre avvisaglie...

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2010/10/25/10503-ampoules-led-dangereuses-pour-yeux?position=1&keyword=ampoules+LED

Des ampoules à LED dangereuses pour les yeux

Les enfants et les personnes atteintes de maladies oculaires sont les premiers concernés par les risques de ces LED, selon l'Anses.

Simples gadgets décoratifs il y a encore deux ou trois ans, les ampoules à LED (diodes électroluminescentes) sont en passe de devenir l'éclairage du futur. Présentes dans les éclairages publics ou dans l'électronique, elles sont également de plus en plus utilisées dans les éclairages domestiques, dans les produits à visée luminothérapeutique ainsi que dans certains jouets.

Seul souci : «Des risques liés à l'usage de certaines de ces lampes pouvant conduire à des effets sanitaires pour la population générale et les professionnels ont été identifiés», souligne l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) dans un avis rendu public lundi. «C'est une technologie prometteuse, reconnaît Dominique Gombert, directeur de l'évaluation des risques à l'Anses, mais il y a des risques d'éblouissement et des effets toxiques possibles avec la lumière bleue diffusée par une grande majorité d'entre elles.»

Intensité lumineuse élevée
Les premières diodes électroluminescentes, créées en 1962, offraient une intensité lumineuse extrêmement faible. Mais les diodes bleues qui apparaissent en 1990, rapidement suivies par des diodes blanches (couplage d'une LED bleue à un phosphore jaune) , permettent aujourd'hui d'envisager des ampoules de quelques watts à quelques dizaines de watts. Ces ampoules offrent des avantages considérables. Le premier d'entre eux est leur faible consommation énergétique par rapport aux ampoules traditionnelles qui, pour cette raison, sont progressivement retirées du marché. Elles offrent par ailleurs une durée de vie qui, selon l'Ademe (Agence pour la maîtrise de l'énergie), «peut aller jusqu'à 50 000 heures contre 8 000 pour les lampes basse consommation et 1 000 heures pour les ampoules à incandescence».

Revers de la médaille, ces nouveaux éclairages peuvent conduire à des intensités lumineuses mille fois plus élevées que les éclairages classiques, générant un risque d'éblouissement. Les lumières, bleues quant à elles, représentent un risque tout particulièrement pour trois sortes de populations : «Les enfants, les personnes sensibles à la lumière et notamment celles atteintes de certaines maladies oculaires (dégénérescence maculaire) et cutanées (en cas de consommation de substances photosensibilisantes), et les personnes exposées professionnellement», poursuit l'Anses. Certaines de ces diodes entrent ainsi dans un groupe de risque 2 (risque modéré) dans une échelle qui va de 0 (sans risque) à 3 (risque élevé).

Parmi ses recommandations, l'agence suggère que seules les LED de plus faible risque soient accessibles au grand public. Elle suggère la mise en place de systèmes ne permettant pas une vision directe du faisceau lumineux. Elle demande une réglementation des appareils de luminothérapie. Elle réclame, enfin, une meilleure information du consommateur.

Autant de recommandations soutenues par l'Association française de l'éclairage . «La réglementation est positive, l'Anses milite en faveur de la normalisation», précise Bernard Duval, le secrétaire général de l'association, qui ne cache pas toutefois une certaine inquiétude concernant des produits d'importation.

PHIL53
14-09-2015, 18:33
Per chi non masticasse la lingua di Voltaire, un inizio di rapida traduzione....

Il lato oscuro dei LED
I LED, che forniscono una luce molto intensa e a maggior proporzione di blu sarebbero più tossici per la retina delle lampadine convenzionali.
Consumano poco, non scaldano, sono molto resistenti e hanno una durata di vita spettacolare (decine di migliaia di ore): i diodi luminosi o LED (acronimo), hanno progressivamente invaso la nostra vita quotidiana. Si trovano nei fari delle automobili o nell'illuminazione stradale, torce elettriche e illuminazione interna. Ma possiamo essere certi che questa nuova tecnologia sia senza rischio?
Nel 2010, l'Agenzia nazionale per la sicurezza sanitaria degli alimenti, ambiente e lavoro (Anses) metteva in guardia a causa della loro luminosità intensa, potenzialmente accecante (a parità di illuminazione, un LED è molto più compatto di una lampadina convenzionale, pertanto più brillante) e sulla alta la percentuale di luce blu nel loro spettro, potenzialmente dannosa per la retina. La Anses ha poi ricordato l’assenza di regolamentazione relativa a questa particolare illuminazione.
Cinque anni più tardi, il vuoto giuridico, resta. Peggio, un nuovo studio condotto da un team dell’ Inserm, pubblicato a primavera nella rivista de Biologia Free Radical and Medicine ha rinfocolato le paure esistenti. Alice Torriglia, ricercatrice dell’Inserm presso il centro di ricerche Cordeliers di Parigi e il suo team hanno dimostrato che la tossicità di LED commerciale comune è risultata significativamente più elevata di quella di luci al neon ... sui ratti albini.

Deterioramento delle cellule
"Ci vogliono solo un paio di ore di esposizione per osservare nella retina di questi animali particolarmente fragili degradazioni ottenute normalmente grazie a giorni di esposizione alle luci al neon” si allarma la ricercatrice. Noi, ovviamente, non abbiamo occhi dei ratti albini, per fortuna, ma i meccanismi fisico-chimici coinvolti sono simili. Dobbiamo rimanere molto vigili circa la potenziale tossicità del LED per l'occhio umano, poiché saranno presto onnipresenti....

segue quando possibile...

PHIL53
14-09-2015, 18:50
In questo caso, è la radiazione blu, le cui lunghezze d'onda sono comprese tra 400 e 450 nanometri, che è problematica. "Questa luce è più energica del rosso e verde, e ce n’è molta di più nei LED che le lampadine convenzionali, riconosce Serge Picaud, capo del team di farmacotossicità della retina presso l'Istituto della Vista a Parigi . Questa radiazione blu ha anche la particolarità di essere catturata dai derivati di pigmenti visivo che trasmettono questa energia all'ossigeno, il che favorirebbe l'ossidazione di alcuni lipidi o proteine con conseguente distruzione o degrado delle cellule della retina. "

Se ce ne fossero troppi, le cellule che fanno la pulizia negli occhi avranno sempre maggiori difficoltà a fare il loro lavoro correttamente. "Quando le cellule degradate diventano troppe, questo può portare a un oscuramento del centro del campo visivo, una malattia ben nota come maculopatia degenerativa legata all'età (DMLA), dice Alice Torriglia. Non vorremmo vedere una esplosione della malattia tra dieci o venti anni, solo perché non abbiamo preso per tempo le precauzioni necessarie ". L’esposizione sempre più importante di bambini, il cui cristallino è estremamente trasparente a differenza di quello degli adulti, filtra pochissimo il blu ed è un'ulteriore fonte di preoccupazione.

Un terzo del mercato
"Non dobbiamo drammatizzare, stempera gli animi Serge Picaud. Ogni sorgente luminosa può essere tossica per l'occhio, è una questione di utilizzo. Siccome i LED sono più luminosi, è sgradevole guardarli direttamente, il che probabilmente limita la loro tossicità. Sarebbe tuttavia essere auspicabile che la loro dominante blu venga limitata e che il pubblico sia informato meglio di oggi. I LED “caldi ", più popolare in Europa, per esempio, sono a priori meno dannosi dei LED “ freddi "che dominano i mercati asiatici.

Presso la associazione francese di illuminazione (AFE), ci si dichiara coscienti del problema. "In Francia, i LED rappresentano oggi circa un terzo del mercato, contro l’ 80-90% in Canada, per esempio, spiega il suo delegato generale Alain Azaïs. La mancanza di una regolamentazione chiara, non è rassicurante per i consumatori. "

I nuovi studi di tossicità, così come i progressi compiuti dai produttori, consapevoli della necessità di rassicurare gli acquirenti, spingono oggi l’ANSES ad ottenere una nuova relazione di perizia. I primi incontri sono previsti nelle prossime settimane. Ci vorranno almeno dodici a diciotto mesi alla agenzia prima di pubblicare le sue nuove raccomandazioni. La SFA si augura che le discussioni a livello internazionale, europeo e nazionale saranno da allora ha portato, nel 2016, i regolamenti di più appropriati su questa fonte di luce del futuro.

Marcos64
15-09-2015, 00:45
Grazie Phil della traduzione, in francese non ho neanche provato a leggerlo, avrei capito una parola su diciotto anche se sono piemontese! Capito l'articolo, beh, non c'e' tanto da stare allegri.